Copperhead de Velocity Devices Inc.

Copperhead de Velocity Devices Inc.

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Au début de l’année, dans l’édition de Mars/Avril nous avons testé les contrôleurs d’injection. À la fin de l’article nous avons affirmé que l’on vous proposerait une alternative. Comme l’équipe du Monde du VTT tient ses promesses, nous voulons vous parler d’un système qui vaut vraiment la peine qu’on s’y attarde et vous le présentons, nous allons évaluer et tester pour vous l’électronique de contrôle du moteur «Copperhead» de la compagnie Velocity Devices Inc.

La Compagnie Velocity Devices Inc. est une compagnie Canadienne fondée en mars 2004 suite à la demande grandissante des conducteurs de VTT utilitaires désireux de pouvoir améliorer les performances de leur machine. Leur objectif à cette époque était clair, il fallait concevoir, développer et fabriquer un dispositif pouvant répondre à cette demande. Six ans après le début de cette aventure, V.D.I. est devenue un leader mondial dans la fabrication d’unité électronique de contrôle de moteur.

La compagnie V.D.I. passe à l’action et nous propose une solution très simple; le remplacement complet de l’électronique de contrôle du moteur (ECU) dans les véhicules équipés d’un système à injection électronique. Ces VTT très évolués utilisent à peu près le même principe que les automobiles. Toutes les composantes électroniques du moteur sont contrôlées par une électronique de contrôle principale. Un des avantages de ce système est qu’il agit bien plus que sur l’apport d’essence comparativement aux contrôleurs d’injections. Le Copperhead contrôle l’apport d’essence, l’avance, permet au moteur de moins chauffer, peut réduire la consommation d’essence jusqu’à 25%, et peut augmenter la puissance de 21 % du ralenti jusqu’à la zone rouge.

Sur papier c’est toujours facile mais dans la réalité, est-ce que l’on peut s’attendre aux mêmes résultats? Je prends contact par courriel avec la compagnie Velocity Devices Inc. et à ma grande surprise j’ai eu une réponse dans les heures qui ont suivi et avec une grande précision. Je tiens à préciser que dans le premier message je ne me suis pas présenté sous mon vrai jour. Je me suis fait tout simplement passer pour un client potentiel qui avait des interrogations sur leur fameux « Copperhead » ECU, au moment où j’écris cet article les gens de V.D.I. ne savent toujours pas que je les ai déjà contactés dans le passé, on pourrait dire anonymement ! C’est très encourageant de voir qu’un client potentiel est traité avec professionnalisme et courtoisie. Quelques semaines plus tard, je passe enfin la commande, cette fois à «visage découvert» et trois jours après et à ma grande et agréable surprise, je reçois une boîte bien emballée en provenance de Calgary.

Un des atouts majeurs du Copperhead de V.D.I. est que dès que vous passez votre commande, votre ECU sera programmé en fonction de votre VTT et de ses modifications s’il y a lieu, donc cette petite merveille arrivera devant votre porte prête à être installée. Le programme numéro 1 laissera tous les limiteurs de votre VTT actifs, c’est-à-dire que votre VTT sera plus performant mais que les sécurités comme la limitation de la vitesse en marche arrière vont rester en fonction. À la position numéro 2 et pour reprendre le slogan de la compagnie V.D.I., ça va être le feu dans votre quad! (au sens figuré, ça va de soi). Cette position va libérer votre VTT des limiteurs installés par les manufacturiers. Vous devez bien sûr l’utiliser seulement si vous avez assez d’expérience et en toute sécurité s’il vous plait. Aucun limiteur sur la marche arrière, plus besoin d’appuyer sur ce petit bouton quand vous êtes pris dans la boue jusqu’aux coudes et que vous devez reculer en utilisant le plus de puissance possible pour ne pas rester coincé 3 pieds plus loin, et c’est aussi valable quand vous barrez le différentiel, il vous sera possible d’utiliser toute la puissance de votre quad.

Et ce n’est pas tout, V.D.I. nous démontre une bonne maîtrise de la technologie en vous donnant la possibilité de mettre à jour votre ECU à l’aide d’un ordinateur et d’un boîtier d’interface disponible dans leur catalogue au coût raisonnable de 50,00 $. Donc si pour une raison quelconque vous apportez des changements à votre VTT, vous pourrez télécharger des mises à jour sur leur site internet et reconfigurer votre quad. Rendu là, on se rend bien compte que la technologie évolue à une vitesse vertigineuse et que la compagnie V.D.I. a une sérieuse expertise et maîtrise du sujet. En fait, à ce jour, c’est le seul fabriquant au monde qui propose un remplacement complet de l’électronique de contrôle du moteur et non pas un dispositif qui sera greffé sur l’électronique d’origine. Au passage, je voudrais dire que j’ai ressentie une certaine fierté quand j’ai ouvert la boîte et que j’ai vu ce petit autocollant de la feuille d’érable avec l’inscription «fabriqué au Canada».

Et comme si cela n’était pas assez, ils mettent aussi à votre disposition 5 connexions de mise à la terre électrique qui peuvent servir à l’activation de composants optionnels dont une connexion pour un tachymètre. Il est maintenant temps de vous annoncer le prix avant de continuer et d’essayer ce petit boîtier fait de concentré de technologie. Là aussi, je trouve qu’avec tout ce que ce petit bijou peut apporter à votre VTT, V.D.I. a gardé les pieds sur terre puisque le Copperhead coûte 500,00 $ avant taxes. Il est certain qu’autant de flexibilité et d’efficacité a un coût mais en toute franchise, si on le compare à d’autres accessoires destinés à la performance, ce prix est justifiable, surtout que vous pouvez garder votre ECU même si vous changez de VTT. Il suffit de changer le filage et de reprogrammer le tout. Vous pouvez consulter la liste des applications disponibles sur le site internet de la compagnie V.D.I. pour plus d’information. Si on compare au prix de la pièce originale des manufacturiers, le Copperhead est dans la même gamme de prix car une électronique d’origine peut coûter 500,00 $ et même plus.

L’installation :
Pour installer votre nouvelle électronique, il ne vous faut pas un cours d’ingénieur car les instructions avec photos sont claires et précises. Après avoir débranché le pole négatif de la batterie du VTT, vous devrez simplement débrancher votre ancienne électronique et brancher le Copperhead puis le repositionner à la même place que celle d’origine. Suivant votre type de quad vous devrez peut-être déplacer un ou deux relais ou autres composantes. Les instructions vous proposent un type d’installation mais vous pouvez modifier l’emplacement au besoin. Nous avons fait face à ce problème. En effet, le boîtier de connexion du treuil qui a été ajouté sur notre véhicule prenait trop de place sous la selle et ne nous permettait pas de pouvoir positionner l’électronique comme indiqué dans les instructions. Nous avons donc fait un peu de place en déplaçant un relai et en coupant les plastiques de support de l’électronique d’origine. L’installation au complet a durée environ 30 minutes, et pour être honnête avec vous, aucun besoin d’être un expert dans le filage électrique. Il y a juste une prise DB44 à brancher; elle ressemble à une grosse prise comme celle des anciennes imprimantes. Un autre détail que l’on a aussi apprécié est que la prise est remplie de graisse diélectrique afin de prévenir la corrosion et les infiltrations d’eau. (photo 1)

La programmation :

Si vous apportez des modifications à votre VTT après avoir installé l’électronique Copperhead, vous pouvez faire des ajustements sur celle-ci et pour une multitude de paramètres. Pour pouvoir procéder, il vous faudra le boîtier d’interface qui se trouve dans leur catalogue. Le reste est assez simple : vous branchez le boîtier à votre ordinateur et à l’aide du programme disponible sur le site internet de Velocity Devices Inc. vous pourrez faire tous les changements nécessaires. Le Copperhead peut même prendre en compte des détails comme la taille des pneus. Une fois que vous avez transféré les données de votre ordinateur à votre boîtier d’interface, vous pouvez le débrancher et le connecter directement sur le Copperhead et faire la mise à jour juste en tournant la clef de contact de votre véhicule, et en 1 minute le tour est joué! (photos 2 et 3)

Pour qui?

Une caractéristique que j’ai vraiment appréciée du Copperhead est qu’il est fait pour tous. Sa polyvalence lui permet de s’adapter à la majorité des conducteurs de VTT; que vous soyez un pilote de course, un novice, un adepte de la promenade en famille, ou même un agriculteur, vous trouverez certainement un avantage à posséder le Copperhead de V.D.I. Les limites du Copperhead s’arrêteront là ou s’arrêtent les vôtres. Si vous êtes un adepte de la performance pure et que vous êtes confortables avec la gestion des paramètres des électroniques de moteur, le Copperhead sera à mettre sur votre liste d’achat, et si vous n’avez aucune expérience sachez que la compagnie Velocity Devices Inc. vous fera remplir un petit questionnaire lors du passage de la commande et programmeront pour vous votre ECU selon les critères de votre VTT et vos exigences, de plus si vous ne vous sentez pas à l’aise de faire l’installation, un mécanicien n’aura aucune difficulté à la faire.

Les essais sur piste :
Pour pouvoir juger des performances du Copperhead nous allons utiliser le même VTT que lors des essais que nous avons fait avec un contrôleur d’injection. Donc le même King Quad 700 sera utilisé, sauf que maintenant il n’y a plus de contrôleur d’injection et sous la selle le Copperhead prend maintenant place. Je peux déjà vous dire que mes attentes sont assez grandes, car avec autant de technologie emmagasinée dans cette petite boîte, j’espère que je ne serai pas habité par le sentiment d’insatisfaction à la fin des essais. Étant habitué à la conduite un peu sportive, je pousse tout de suite le bouton du Copperhead à la position 2, prévue pour la performance. J’attache ma remorque à mon auto et démarre le King Quad. Celui-ci semble réglé comme une montre suisse et à première vue le ralenti semble bien ajusté, après la phase de réchauffement du moteur, on entend plus que son ronronnement, je l’embarque et me met en chemin. Je me rends là où je fais d’habitude des réglages sur les VTT.

C’est une petite piste mais l’avantage est que je connais le terrain par-cœur, et que je vais pouvoir mieux évaluer la nervosité et les reprises du VTT. Pour atteindre la piste je dois parcourir environ 100 mètres dans l’entrée qui est asphaltée. Je démarre le King, le laisse chauffer quelques instants et ouvre les gaz. J’avoue qu’à cet instant précis j’ai ressenti tout de suite une différence notable, le King Quad a décollé comme si j’avais remplacé son gros monocylindre par un bicylindres en V, les roues avant décollant du sol. Pour être franc, c’est comme si le Copperhead de VDI avait libéré le King d’une restriction certainement volontaire du manufacturier. Après quelques tours sur cette piste, maintenant trop petite à mon goût, je contacte Alain notre rédacteur en chef et lui explique que l’on doit se rencontrer avec l’équipe pour pouvoir tester et évaluer le KingQuad avec le Copperhead sur un piste plus adéquate. Le rendez-vous est pris et je pense que tout le monde a hâte de voir jusqu’où ce VTT transformé pourra aller en matière de performance et de franchissement, car sans limiteur sur le différentiel, nous devrions être capable de passer dans des endroits où on n’aurait peut- être jamais oser passer auparavant.

Pour le deuxième essai le choix de la piste est plus approprié. Nous nous rendons dans un endroit ou toutes les conditions sont présentes. Il y a une piste en gravier assez rapide avec quelques bons virages en épingle, des murs de roches pour pouvoir tester le franchissement, et des gros trous de boue si profond qu’un hippopotame pourrait s’y baigner. Notre objectif est très simple; nous allons essayer d’atteindre la limite, car nous voulons absolument tester le Copperhead dans des conditions extrêmes afin de pouvoir estimer le gain de puissance et pouvoir apprécier les avantages de ce dispositif.

La météo est de notre coté cette fois, le ciel est bleu, la température est parfaite, et aucune humidité dans l’air. Je suis le premier à embarquer sur le VTT. Je commence tranquillement puis après quelques minutes je pousse l’accélérateur de plus en plus dans le fond. Le résultat est limpide comme de l’eau de source. Le Copperhead a métamorphosé le KingQuad; les reprises sont puissantes et sèches, je ne ressens aucun temps mort dans l’accélération, le moteur prend des tours à une vitesse surprenante et constante. J’arrive à négocier des virages très serrés et à passer en glisse sans avoir à me soucier d’un manque puissance. Après plusieurs tours de piste, j’en viens rapidement à la conclusion que le Copperhead en matière de puissance livre la marchandise, et dépasse même mes attentes!

Après une petite pause pour laisser reposer mes bras, je me prépare à attaquer la partie rocheuse. On peut penser qu’il n’y a aucun intérêt d’ajouter des pièces de performance pour améliorer les capacités de franchissement, je pense exactement le contraire, car il est très dangereux de manquer de puissance dans ces moments où votre VTT est incliné et qu’il est trop tard pour revenir sur sa décision. Vous devez absolument franchir l’obstacle imposant ou sinon; qui sait? Il est plus facile à mon humble avis de contrôler la puissance d’un véhicule quand vous avez de l’expérience et de franchir des obstacles tout en dosant l’accélération. Par-contre, si vous manquez de puissance vous pouvez vous retrouver en très mauvaise posture, ce qui peut entraîner une chute ainsi que des blessures, même si on avance à pas de tortue. Je commence donc mon ascension et j’entends déjà les roches raboter les protections sous le Kingquad, mais tout se passe bien. La réponse de l’accélérateur est bonne et facile à gérer.

Malgré la puissance additionnelle que le Copperhead a apportée à notre quad, je peux rester en contrôle. Une petite pression sur la poignée des gaz à la vue d’une grosse roche et la roue se retrouve rapidement au-dessus de celle-ci. Ici aussi j’ai apprécié d’avoir le Copperhead de VDI sous ma selle, car grâce à ce dispositif le moteur du KingQuad garde une température stable et chauffe moins. Pendant un instant je me suis même demandé si le ventilateur de refroidissement fonctionnait correctement car pendant toute la partie rocheuse je ne l’ai jamais entendu démarrer. Je jette un coup d’œil sur la jauge de température installée sur le quad lors des essais des contrôleurs d’injection que nous avons fait dans notre édition de Mars/Avril 2010, et elle est parfaite. Encore une fois j’avoue que l’addition d’une telle option fut un choix judicieux et très peu dispendieux car savoir la température d’un moteur est nécessaire quand vous apportez des modifications à un VTT.

Une des particularités du Copperhead est qu’il est étanche, donc pour ceux qui ont tendance à jouer dans la boue, ou qui prennent leur VTT pour un sous-marin et installent des entrées de boîte à air en forme de périscope, là aussi le Copperhead peut être d’une grande utilité, surtout si votre véhicule est rehaussé et que vous roulez avec des pneus surdimensionnés. Je me prête au jeu et décide de voir si une fois pris dans la boue, le fait de ne pas avoir de limiteur sur le différentiel me sera d’une aide quelconque. Et bien oui, je ne suis pas resté bloqué car le fait de pouvoir utiliser plus de puissance quand le différentiel est barré et que le limiteur soit inactif est aussi un atout qui me plait beaucoup. Alain embarque sur le KingQuad à son tour, pour ceux qui ont eu la chance de rouler avec lui, vous savez que même si il sait apprécier les balades tranquilles en famille à l’occasion, quand il décide de pousser un véhicule au maximum de ses capacités, il le fait! (en toute sécurité et dans un environnement contrôlé) Il pousse le KingQuad d’entrée de jeu, enchaîne les virages les uns après les autres avec un parfait contrôle de la glisse.

À chaque petite bosse il ouvre les gaz et la franchit sans que même les roues avant ne touchent le sol. Nous arrivons maintenant dans une partie monstrueusement boueuse. Je reste derrière Alain avec un autre VTT, et pour être honnête avec vous, j’esquive les trous comme je le peux car ça ne me tente pas vraiment de rester pris dans la boue jusqu’aux oreilles! Alain lui n’a pas l’intention de se laisser impressionner, et il plonge directement dans ce que j’aime appeler des baignoires à hippopotames et le KingQuad semble ressentir quelques difficultés, mais Alain a plus d’un tour dans son sac et beaucoup d’expérience en arrière d’un guidon. Il barre le différentiel, accélère, bouge son corps de façon à augmenter l’adhérence du VTT et arrive à se sortir à chaque fois des trous sans avoir à dérouler le câble du treuil.

À la fin de cette journée nous étions tous d’accord que le Copperhead ECU de la compagnie Velocity Devices Inc. nous a impressionnés. Pour ma part, je dois dire que j’avais un peu peur d’être déçu, mais bien au contraire, le Copperhead m’a agréablement surprit, et ce à tous les niveaux. Même le ratio Air/Essence que nous avons mesuré était parfait (entre 12 et 13 AFR constamment, AFR étant l’unité de mesure du ratio Air/Essence). Ce fameux ratio a été plus compliqué à obtenir lors des essais que nous avons faits avec un contrôleur d’injection.

Le verdict :

Nous constatons que la compagnie V.D.I a fait un travail remarquable en développant un produit comme le Copperhead. De plus, en naviguant un peu sur le web, nous nous sommes rapidement rendu compte du taux de satisfaction impressionnant de leurs clients. On constate sur de nombreux forum de discussion que V.D.I. a compris que la clef du succès passe par le service à la clientèle, et on retrouve presque dans toutes les discussions le prénom de Lyle qui revient, surtout pour son dévouement en matière de service. Et bien mesdames et messieurs, je tiens à vous informer que Lyle est nul autre que le propriétaire et le fondateur de la compagnie Velocity Devices Inc. Donc le ton est donné car même le propriétaire s’implique dans le service après vente chez V.D.I. J’accorde sans aucun complexe et sans aucune hésitation la note de 110% au Copperhead, et encourage la compagnie VDI à continuer dans la même voie. Je vous invite à faire un tour sur leur site internet www.velocitydevices.com. Ils offrent plusieurs autres produits dont un ensemble de relocalisation de la sonde d’air (IAT), dont nous ferons l’essai prochainement c’est sûr, des ensembles d’embrayage et bien d’autres choses. Le Copperhead est disponible pour de nombreux VTT et même certains côte à côte.

N’oubliez pas, il est inutile de s’aventurer dans des manœuvres inconnues. Prenez toujours le temps de vous familiariser graduellement avec les nouvelles actions et réactions exprimées par votre QUAD transformé. Soyez conscient que de telles modifications peuvent complètement transformer votre machine en une version certainement pas en accord avec la pensée technologique du fabricant et sont choix de restreindre sa puissance, que ce soit de façon générale, ou plus spécifique comme dans le cas d’un limiteur sur la marche-arriére. Je conseil à tous, et surtout à ceux qui décide d’essayer cette petite boîte noir magique, de ne jamais laisser votre 4RM engagé lorsque votre QUAD dort. Surtout si vous laisser d’autres personnes conduire la bête. Le pire scénario étant une jambe qui pousse et coince le pouce par force naturel du mouvement des forces. De toute façon, il ne faut jamais prêter un QUAD ainsi modifié, sans s’assurer que l’utilisateur en comprend les implications et puisse s’en servir de façon sécuritaire.

Voici la liste des VTT et côtes a côtes compatibles avec le Copperhead :

Modèles à carburateur :

Artic Cat V650 à partir de 2004
Kawasaki V-Force à partir de 2004
Kawasaki Brute Force à partir de 2005
Kawasaki KVF/Prairie à partir de 2002
Suzuki Twin peaks 700 à partir de 2004
Yamaha Grizzly 660 de 2002 à 2007
Yamaha Rhino 660 de 2004 à 2006

Modèles à injection :

Artic Cat 700 EFI à partir de 2006
Kawasaki Brute Force 750 EFI à partir de 2008
Kawasaki Teryx 750 EFI à partir de 2009
Suzuki KingQuad 700 EFI de 2005 à 2007
Suzuki KingQuad 450 EFI à partir de 2006
Suzuki KingQuad 750 EFI à partir de 2008
Yamaha Grizzly 700 EFI à partir de 2007
Yamaha Rhino 700 EFI à partir de 2008

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